est formulée avec une huile hyper-oxygénée, traditionnellement utilisée pour ses propriétés apaisantes dont l’action est renforcée par la présence d’un extrait de réglisse appelé Enoxolone ou acide 18β-glycyrrhétinique dont les propriétés sont bien connues : apaiser les peaux fragilisées.
Elle contribue à limiter l’apparition de plaques rouges, recouvertes de pellicules blanches ou jaunâtres sur les zones de peau grasse, associée à une desquamation, appelée dermite séborrhéique.
Dans certains cas particuliers, l’association par un simple mélange, faiblement dosé, d’huile essentielle d’arbre à thé, contribue à la résolution de nombreux problèmes cutanés.
Posologie
La Crème Dermapaisante Réglisse Vitamine E
s’utilise à la demande, afin d’améliorer l’état des peaux agressées,
l’application 2 à 3 fois par jour peut être envisagée.
Mode d'emploi
La Crème Dermapaisante Réglisse Vitamine E
Appliquez sur une peau propre et sèche.
Massez doucement par mouvements circulaires jusqu’à absorption complète.
Utilisez au gré des besoins pour des résultats optimaux.
Précautions
La Crème Dermapaisante Réglisse Vitamine E
En cas de sensibilité exacerbée de l’épiderme, veuillez procéder à une touche d’essai.
La très bonne tolérance de ce produit n’expose à aucun désagrément.
Acide 18β-glycyrrhétinique : ses principales propriétés biologiques et ses applications dermatologiques
Une Kowalska1, À Kalinowska-Lis1
Abstrait
Récemment, l’attention s’est portée sur l’identification de composés végétaux naturels à forte activité biologique, notamment des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et antimicrobiennes, pour prévenir et contrôler diverses affections cutanées, notamment les maladies liées à l’inflammation telles que la dermatite atopique et le photovieillissement cutané induit par les UV. L’un des principaux ingrédients actifs des plantes est l’acide 18β-glycyrrhétinique (GA), le principal métabolite de la glycyrrhizine (GL), obtenu à partir de la racine de réglisse. La revue examine les précieuses propriétés biologiques de l’AG, en particulier celles qui jouent un rôle clé dans le traitement de divers troubles dermatologiques chez l’homme. La revue met en évidence les principales propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes et antimicrobiennes de l’AG et sa toxicité envers les lignées cellulaires normales. Elle examine également les propriétés physico-chimiques de l’AG et présente des méthodes permettant d’augmenter sa pénétration dans la couche cornée et sa bioaccumulation à l’aide de systèmes d’administration modernes tels que les liposomes et les nanoémulsions.
Mots clés : anti-inflammatoire ; antimicrobien ; systèmes de distribution ; dermatite ; acide glycyrrhétinique.